CHERTE DE LA VIE

LA LUTTE CONTRE LA CHERTE DE LA VIE

Nous exhortons les premiers responsables du pays à venir  sur le terrain (marchés, quartiers) pour s’enquérir des réalités ; les  ménagères attendent toujours des actes concrets sur la hausse des prix et la cherté des aliments de premiers nécessité surtout en ce mois de Ramadan.
En effet, sur les marchés, les prix demeurent inchangés, non seulement on n’a pas d’argent de plus des produits comme le sucre, lait, sont hors de portée même pour les plus nantis. Encore le kg de riz communément appelé «déni-kacha» dont le coût était de 250 FCFA sous le président Laurent Gbagbo, est aujourd’hui à 500 FCFA. Le sac de riz de 25 kg (papillon) est toujours vendu à 11.000 Frs au lieu de 7.500F. Le kg de viande de bœuf se vend tantôt à 2.000 F tantôt à 2200 FCFA. Idem pour le carton de poisson dont le prix demeurent élevés. Au niveau des légumes, c’est le même constat amer.
La réduction des coûts des denrées alimentaires doit être mise en œuvre maintenant et sans délai.